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Le Nouveau Praticien Vét équine
Volume 17-18, Numéro 61-62, 2023-2024
Affections de l’appareil locomoteur - 2e partie
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Page(s) | 6 - 10 | |
DOI | https://doi.org/10.1051/npvequi/2024034 | |
Publié en ligne | 6 novembre 2024 |
Avant-Propos
Avant-propos : Vingt ans du Nouveau Praticien Vétérinaire équine
Médecine Interne (Animaux de Compagnie, Équidés) Agrégé des Écoles Vétérinaires, Dipl ECVIM (CA) Membre de l’Académie Vétérinaire de France
Cet avant-propos pourrait être considéré comme une proposition d’héritage ou une actualisation de préconisations pour l’apprentissage tout au long de la vie de la médecine et chirurgie du cheval, en espérant évidemment ne pas être en déshérence.
Parler d’une revue de formation appelle évidemment à penser à la formation en général, la formation initiale et la formation continue de l’omnipraticien en particulier.
Je me souviens parfaitement d’un coup de téléphone, un tantinet révolté, de celle qui deviendra la créatrice des éditions Neva au printemps 2000, de la parution du numéro 1 de la revue Le Nouveau Praticien Vétérinaire canine-féline à l’automne 2000.
Je me souviens bien aussi de la réunion de février 2003 entamant les réflexions sur une revue équine du Nouveau Praticien.
Je me souviens enfin très bien de la sortie du numéro 1 du Nouveau Praticien Vétérinaire équine (NPE) en juin 2004, dont le thème était le jetage (Photo 1).
Photo 1 Premier numéro du Nouveau Praticien Vétérinaire équine, mai-juillet 2004. (© Neva) |
C’est donc sur un mode disruptif qu’est né Le Nouveau Praticien Vétérinaire. Et comme souvent, la création dans la rupture a garanti la réussite du projet, dans un paysage de revues de formation continue à l’époque déjà bien planté, mais déjà en évolution.
Et depuis vingt ans, les différents numéros du NPE ont accompagné de nombreuses mutations, évolutions, parfois révolutions dans les connaissances en pathologie équine et dans les modalités de communication et de partage.
Je pourrais ainsi reprendre un à un, de façon très fidèle, tous les numéros parus depuis et indiquer, sauf peutêtre pour ceux des deux dernières années, l’histoire du thème, l’histoire des commandes d’articles, l’histoire des retours des articles ; l’histoire des relectures et mises en page ; et bien sûr, l’histoire de la politique éditoriale indépendante et du positionnement des revues dans le paysage de la formation continue. Sa contribution à la francophonie dans les articles de synthèse pédagogique destinés à l’omnipraticien, aussi.
Je me dois d’adresser mes plus amicaux remerciements à Maryvonne Barbaray, fondatrice des éditions Neva, pour sa confiance, nos collaborations sans faille, notre partage de l’appréciation de l’écriture en général, scientifique et de vulgarisation en particulier, et de toutes les collaboratrices et de tous les collaborateurs au sein des différentes instances éditoriales du Nouveau Praticien.
J’adresse également très sincèrement mes remerciements pour la confiance et nos échanges collaboratifs toujours agréables et directs que m’a accordés depuis son arrivée la nouvelle équipe éditoriale.
Comment le praticien a-t-il pu accéder aux bonnes connaissances depuis 20 ans ?
Recevant depuis plus de quarante ans tous les numéros de la Semaine vétérinaire, du Point vétérinaire, de la Revue de médecine vétérinaire d’Alfort, celle de Lyon et de Toulouse, la revue PMCAC, la revue de l’AFVAC, le bulletin des GTV ou encore Pratique Vétérinaire équine, ainsi que les trois revues du Nouveau Praticien vétérinaire (canine-féline, équine, et élevages & santé), que de changements dans la forme et le fond au cours du temps ! Changements totalement parallèles aux contenus de nos programmes d’enseignement, d’ailleurs. (Photo 3). Les explications en sont sûrement multiples, parmi lesquelles un accès facilité aux connaissances qui, pour certaines, auraient pu rester méconnues, alors qu’elles existaient déjà dans de vieux ouvrages, traités et même revues qui n’auraient pas été suffisamment consultées pour une diffusion.
Photo 3 Dossier sur les ictères hépatiques, pour lequel nous avons été primés en 2007 par le SPEPS. (© Neva) |
Vous parlerais-je du papier de Hamoir (celui qui a donné son nom à la zone interdite de trépanation des cavités sinusales frontales et conchales dorsales chez le cheval), vétérinaire militaire décrivant globalement toutes les affections sinusales, y compris les tumeurs, et ce, en… 1926 ?
Vous parlerais-je aussi de l’ouvrage princeps en ophtalmologie de Nicolas, avec plus de cinquante pages sur la skiascopie, du traité de Cadiot et Lamy, de l’encyclopédie de Cadéac, de tous les travaux effectués dans les effectifs de chevaux militaires et de tous les travaux de thèse de la moitié du siècle dernier, mines de descriptions diverses de situations cliniques que nous avons ensuite retrouvées dans les « textbooks » ?
Approche épistémologique : 20 ans de chirurgie, 20 ans de médecine, 20 ans de zootechnie
Nul doute que l’incrémentation de nos connaissances ces 20 dernières années (voir Encadré) peut trouver des explications par la seule communication pour partie, par l’intérêt porté aux ressources bibliographiques pour une autre, mais aussi par les progrès faits par les travaux de recherche clinique, scientifiques et par l’intégration des retours d’expériences et de pratiques cliniques. Parallèlement, la visibilité des structures telles que les collèges européens, la qualité des réunions professionnelles organisées par des associations professionnelles de formation continue a largement contribué à l’augmentation du corpus de connaissances, même si une certaine prudence doit être de mise sur le contenu même de ce corpus.
Encadré Quelques faits marquants en pathologie équine depuis 20 ans
Évolutions, révolutions, impasses, ornières diagnostiques et sémantiques
De l’emphysème à l’asthme ! en passant par le souffle !!!
De l’ostéite au syndrome podotrochléaire et même à l’œdème osseux.
Du Nesdonal® aux anesthésies multimodales et à l’analgésie.
Des radios de la tête au scanner cheval debout.
Évolutions ou révolutions thérapeutiques
Pas beaucoup, il faut bien dire, même en chirurgie ostéoarticulaire.
Quand même, l’apport incontestable des cellules stromales mésenchymateuses dans certaines situations cliniques.
Quelques progrès en ophtalmologie et en dermatologie (en matière diagnostique et thérapeutique).
Des évolutions en néonatalogie (médicalisation, soins intensifs) (Photo 2).
Des progrès énormes en biosécurité et en diagnostic des maladies infectieuses.
Des progrès aussi dans la médicalisation en général (malgré une pharmacopée relativement stable sans nouveaux médicaments révolutionnaires).
Évolutions ou révolutions prophylactiques
Nouvelles stratégies vaccinales, nouveaux vaccins et surtout dépistages et diagnostics plus précoces des maladies infectieuses au sens large.
Peu de progrès suivis en parasitologie, même si la lutte antiparasitaire est plus raisonnée, mais… chassez le naturel, il revient au galop (sic) !
Photo 2 Dossier thématique sur les évolutions en néonatalogie, novembre 2020. (© Neva) |
Toile informatique Pubmed, Veterinary International Network, autres bases de données
L’avènement de la toile informatique et de sites officiels dédiés à des banques de données médicales et vétérinaires a permis à tous les praticiens ayant pris ce train en marche d’accéder à des connaissances. Malheureusement, cet accès facilité n’a pas forcément été accompagné par l’enseignement de comment trier les informations, les hiérarchiser et comment leur donner un indice de pertinence en permettant l’utilisation pratique.
Formation initiale et continue Les Écoles, les revues, les congrès
Parallèlement aux considérations précédentes, il faut évidemment positionner nos Écoles, les revues et les congrès dans le paysage de la formation initiale et continue.
Ainsi, une grande prudence doit être de mise face aux mirages et modes hallucinatoires en matière diagnostiques, thérapeutiques et prophylactiques.
Incontestablement, Le Nouveau Praticien Vétérinaire équine a accompagné vingt ans de progrès en pathologie du cheval dans le paysage de la formation continue depuis sa création, pour l’omnipraticien, mais parfois aussi pour celles et ceux qui voulaient développer certains champs disciplinaires (comme l’ophtalmologie, l’endoscopie ou encore la dermatologie). Il faut d’ailleurs à ce sujet rappeler que l’histoire d’un numéro est souvent longue, nécessitant une vue prospective par rapport à certains évènements ou actualités bibliographiques internationales (par ailleurs couvertes depuis de nombreuses années sous la forme de résumés animant la rubrique « La Revue internationale »), une prospection pour les meilleurs auteurs en fonction des sujets, sans oublier les équidés de travail, et bien souvent Le Nouveau Praticien a été visionnaire dans les thématiques retenues.
Comment le praticien peut-il acquérir de façon critique les bonnes connaissances et les retours d’expérience pertinents ?
Évidemment, nos revues en langue française actuelles, destinées aux praticiens pour leur exercice clinique quotidien, sont des articles à visée pédagogique. Ces derniers, en fonction des auteurs, doivent faire la synthèse d’articles scientifiques dont la qualité reposera sur la revue d’origine, le type d’article et leur niveau de preuve des données exposées.
Approche de médecine factuelle : définition, méthodes, limites
Les connaissances sont (trop) facilement accessibles, mais les utiliser, les appliquer, les partager nécessite une approche critique et factuelle de tous les instants. Ce travail ne peut pas être effectué par le praticien au quotidien, d’où l’exigence de qualité pour les revues à visée pédagogique de formation continue. Ces dernières doivent malgré tout présenter également les limites des données disponibles, les interrogations sur telle ou telle pratique diagnostique ou thérapeutique : séparer le bon grain de l'ivraie n'est pas simple ni rapide, parmi la multitude de papiers publiés tous les jours, dans des revues papier indexées ou non, dans des revues électroniques avec ou sans comité de lecture sérieux, signés d’auteurs invités et souvent seuls signataires de leurs articles, sans forcément avoir le recul de compétences nécessaire.
La connaissance de la pyramide de l’approche en médecine factuelle devrait être appliquée pour chaque lecture et permettrait de faire le tri pour satisfaire une approche épistémologique de l’acquisition de nouvelles connaissances.
Omnipraticiens, spécialisations et spécialistes, structures et financements
Une revue comme Le Nouveau Praticien vétérinaire équine se doit de maintenir le niveau scientifique, sans oublier le niveau de connaissances à délivrer pour l’omnipraticien. Attirer l’attention de ce dernier sur les aspects scientifiques de telle ou telle connaissance est indispensable, mais on ne peut lui demander de lire tous les papiers permettant de construire les connaissances actuelles. Il en va différemment pour les articles que doivent lire les spécialistes ou les confrères ayant une activité spécialisée. On en revient toujours aux niveaux de pratique professionnelle nécessitant des niveaux de connaissances différents et la nécessité d’une communication adaptée et pragmatique entre les différents vétérinaires, en toute indépendance et en toute intégrité. Finalement, nos publications françaises à visée pédagogique n’ont absolument rien à envier à leurs équivalents à l’étranger, tant par leur qualité que par les progrès effectués des deux dernières décennies. Ce qu’elles n’ont pas suffisamment est une meilleure visibilité aussi bien dans les pays francophones, que non francophones. Elles ne figurent pas non plus, pour la plupart, dans les bases de données internationales facilement consultables sur la toile.
Au cours de ces 20 dernières années, Le Nouveau Praticien vétérinaire équine s’est aligné sur ces aspects de médecine factuelle et de niveau de la formation délivrée. Une qualité soutenue et maintenue jusqu'à ce jour, et reconnue par ses pairs (Photo 4). Très tôt, la revue équine avait bénéficié de ce qui avait été mis en place pour Le Nouveau Praticien vétérinaire canine-féline : site Internet1, souscription à l’abonnement en ligne, points de formation continue, attractivité des cas cliniques proposés pour résolution, et le tout dans une indépendance éditoriale affichée et réfléchie avec les différentes compagnies pharmaceutiques. Dans la continuité du passé avec d’autres revues, le rôle du conseil éditorial, du conseil scientifique et surtout du comité de lecture a été renforcé, avec là aussi un choix ciblé de relecteurs compétents et exigeants.
Photo 4 Hors-série « Complications associées aux chirurgies » (oct 2022) dont l'article « Complications associées aux chirurgies oculaires : chirurgies de l’œil et du globe oculaire » d’Alain Régnier et al. a été récompensé du Prix Speps 2023 du « Meilleur article de formation continue à destination des vétérinaires » (© EDP Sciences). |
Comment partager à l’avenir avec le praticien les bonnes connaissances et les retours d’expérience pertinents
Blogs, forums divers, groupes What’s App®
Ces différents moyens de discussions et d’échanges sont intéressants, mais doivent faire l’objet d’une vigilance particulière, tout comme les MOOC (Massive Open Online Course : en français, « cours en ligne ouvert et massif »). En l’absence de contrôle des données échangées, il peut arriver que soit diffusé un corpus de connaissances erronées, qui parfois ne reposent que sur des retours d’expérience basés sur quelques cas. Ces données diffusées sans contrôle ou filtre expert peuvent ne pas être en accord avec l’enseignement initial dispensé à nos étudiants au risque de les induire en erreur ou de les amener à faire des erreurs préjudiciables. Enfin, une traduction approximative de termes scientifiques étrangers, soit qu'elle n'ait pas été confiée à un traducteur expert, soit qu'elle ne puisse être qu'approximative et donc jargonneuse, peut également induire en erreur le praticien.
Congrès
Les mêmes travers que ceux décrits précédemment sont retrouvés dans les tribunes des différents congrès, dans lesquelles on peut voir des intervenants qui n’ont pas forcément soit la compétence pertinente, soit les qualités de conférenciers nécessaires pour respecter la tenue des congrès : transmettre et échanger avec les participants…
Ainsi, comment Le Nouveau Praticien vétérinaire équine peut-il contribuer, pour les 20 prochaines années, à la formation continue de l’omnipraticien ? Je ne suis probablement pas le plus autorisé à indiquer la politique à suivre.
Toutefois, j’aime à penser que des revues puissent encore paraître sous forme papier encore paraître sous forme papier pour tout ou partie, et que quel que soit le support, on écrive en excellent français scientifique et médical, en évitant les anglicismes inutiles, afin qu’enfin l’on vainque le charabia médical qui n’autorise pas une communication efficace entre intervenants. Cela est essentiel pour assurer la justesse et la finesse sémiologique, diagnostique, pronostique et thérapeutique qui sont l’aboutissement de la démarche mais surtout pour assurer la précision de l'examen clinique dans lesquels la sémantique a tellement d’importance.
Une autre piste de progression, d’importance à mes yeux, serait une revalorisation de la légitimité des universitaires qui, par leur formation, ont les missions nobles de l’enseignement supérieur. Eux seuls ont le temps de trier, d’analyser, de proposer les meilleures connaissances, en travaillant bien sûr avec les praticiens cliniciens. Si l’acte vétérinaire est en partie un art, il est aussi pour grande partie de la science : le rôle des enseignants est aussi de jeter des ponts avec d'autres domaines, contribuant ainsi à la diffusion des connaissances de plus en plus larges.
Alors, si les progrès qui auront marqué les 20 dernières années ont pu être :
l’optimisation de la qualité des soins ;
le renforcement des compétences des soignants (en attendant la mise en place de la délégation d’actes) ;
les connaissances en démembrement nosographique, en nosologie, en physiopathologie, les progrès en techniques chirurgicales, en médecine d’urgence et en soins intensifs…
Les progrès à imaginer pour les 20 prochaines années pourraient être :
en matière diagnostique : intelligence artificielle, télémédecine, garder la mémoire en infectiologie, agilité pour la reconnaissance de nouvelles maladies infectieuses ou non (Photo 5), la biologie miniaturisée, les progrès attendus en imagerie ;
en matière thérapeutique et pronostique : soins à domicile, statuts des chevaux, relation avec les autres métiers autour du cheval ;
en matière prophylactique : prédispositions héréditaires, résistances, vaccins et vaccins thérapeutiques.
Photo 5 Dossier thématique sur les maladies infectieuses et l’avortement chez la jument, novembre 2023. (© EDP Sciences) |
Mais en satisfaisant impérativement les conditions suivantes :
Respecter les grands principes (esprit critique, prôner la médecine factuelle en luttant contre l’« éloquence ou la véhémence » based medicine, apporter précision et justesse des mots dans toutes les formes de communication et d’apprentissage, maintenir en respect toute forme de mode, d’errance, de délinquance thérapeutique) ;
Renforcer nos compétences techniques et non techniques, et nos connaissances scientifiques, médicales et pédagogiques.
Revoir les modalités de fonctionnement et d’évolution de notre paysage d’exercices professionnels.
Conclusion
Alors, en guise de conclusion, pourquoi et comment Le Nouveau Praticien vétérinaire équine est-il, depuis sa création, une très bonne revue ?
Si nous considérons qu’une bonne revue est caractérisée par son état d’esprit ouvert et dévolu à ses lecteurs qu’elle respecte toujours, sait instaurer et est fidèle à une politique et à une ligne éditoriales, sert de façon indéfectible le journalisme et l’esprit scientifique, sait prudemment s’adapter aussi aux exigences du lecteur, s’intègre harmonieusement avec émulation sereine dans le paysage de la formation continue et sert la FTLV (formation tout au long de la vie), alors nous pouvons conclure que depuis toujours et encore maintenant Le Nouveau Praticien vétérinaire équine est une excellente revue de formation continue pour l’omnipraticien équin et, fort de quelques principes évoqués, saura le rester tout en s’adaptant avec des capacités créatives et innovantes pour ces vingt prochaines années.
Il convient enfin de préserver la culture médicale générale, malgré et envers des aspects spécifiques trop passionnels, parfois irrationnels, dans l’accompagnement médical et chirurgical des chevaux, en redonnant un vrai sens au statut des chevaux.
Pour rappel, retrouvez les archives de votre revue et tous les articles depuis 2022 accessibles en ligne sur : www.npvet.org (ndlr).
© EDP Sciences, 2024
Liste des figures
Photo 1 Premier numéro du Nouveau Praticien Vétérinaire équine, mai-juillet 2004. (© Neva) |
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Photo 3 Dossier sur les ictères hépatiques, pour lequel nous avons été primés en 2007 par le SPEPS. (© Neva) |
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Photo 2 Dossier thématique sur les évolutions en néonatalogie, novembre 2020. (© Neva) |
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Photo 4 Hors-série « Complications associées aux chirurgies » (oct 2022) dont l'article « Complications associées aux chirurgies oculaires : chirurgies de l’œil et du globe oculaire » d’Alain Régnier et al. a été récompensé du Prix Speps 2023 du « Meilleur article de formation continue à destination des vétérinaires » (© EDP Sciences). |
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Photo 5 Dossier thématique sur les maladies infectieuses et l’avortement chez la jument, novembre 2023. (© EDP Sciences) |
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