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Le Nouveau Praticien Vétérinaire équine

Volume 17 / Numéro 58 (2023)

Maladies infectieuses et avortements chez la jument


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Sommaire

Dossier : Maladies infectieuses et avortements chez la jument

Les causes infectieuses connues et soupçonnées des avortements de la jument p. 6

Dans la filière équine, l’avortement est un échec majeur conduisant à des pertes économiques importantes. Les causes infectieuses sont responsables de 18 à 53 % des avortements selon les études. Certaines de ces causes sont largement documentées alors que d’autres restent encore suspectées et doivent être confirmées.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvequi/2023024

Bilan de la surveillance des avortements équins par le Réseau d’épidémiosurveillance en pathologie équine (RESPE) p. 12

Le RESPE surveille les avortements équins pour détecter précocement les infections équines contagieuses et abortives afin d’alerter rapidement tous les acteurs de la filière lors de foyers sporadiques ou d’épizooties et de coordonner la gestion sanitaire collective de ces foyers, le cas échéant.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvequi/2023032

Placentites ascendantes et non-ascendantes chez la jument : cas cliniques p. 20

Les placentites sont la cause la plus importante d’avortement d’origine infectieuse chez la jument. Celles d’origine ascendante sont les plus fréquentes. Diagnostiquées précocement par échographie transrectale, elles peuvent être traitées avec succès, et la gestation se poursuivre jusqu’à terme. Lorsque des signes cliniques comme des écoulements vaginaux ou un développement et/ou des sécrétions mammaires sont observés, le pronostic est moins favorable. Diagnostiquées par échographie transabdominale, les placentites non-ascendantes sont moins fréquentes et dues en majorité aux bactéries du genre Leptospira et Nocardia. Un diagnostic précoce par échographie est la clef de la réussite du traitement.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvequi/2023027

Les causes d’avortement d’origine non-infectieuse chez la jument p. 30

Les avortements d’origine non-infectieuse représentent, selon les régions et les populations étudiées, entre 25 et 47 % des cas d’avortements. La torsion du cordon ombilical reste la cause la plus majoritairement observée ou la plus fréquente.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvequi/2023025

Causes génétiques d’avortement chez la jument p. 40

Nous commençons enfin à déchiffrer la complexité des causes génétiques d’avortement chez les juments, en disposant déjà de certaines approches diagnostiques et certaines autres se profilant à l’horizon. Ces progrès fournissent aux vétérinaires les outils essentiels pour mieux comprendre cette affection déroutante.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvequi/2023033

Fiche technique : Gestion de l’élevage en cas de confirmation d’un avortement à herpèsvirus p. 52

L’avortement à herpèsvirus est particulièrement contagieux. Ce sont les mesures drastiques d’isolement, d’hygiène, de circuit de soins et de contrôle des mouvements des différents lots de poulinières qui vont permettre d’éviter le développement d’un foyer d’avortements.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvequi/2023028

Fiche technique : Conduite à tenir en cas d’avortement : cas général p. 54

Un avortement dans un élevage ou chez un particulier peut avoir un impact sanitaire et financier non négligeable. Il est donc important de tenter d’en déterminer la cause et de confirmer ou d’infirmer les causes infectieuses les plus contagieuses en exploitant au mieux les examens de l’avorton et de ses annexes.

DOI: https://doi.org/10.1051/npvequi/2023034

Rubrique

Réponses aux tests de formation continue p. 72